-
Le canard de la semaine – 6
Dans le cadre de l’expo POP’ Nous vous invitons à ouvrir chaque semaine une page de la presse de l’époque. Cette semaine, apprenez à faire un bon gratin dauphinois … Avec LES ALPES ILLUSTREES 21 novembre 1895 p2 N°44 D’autres “unes” sont dans l’onglet Archives du site.
-
5 applications POP’ pour toute la famille
Mercredi 6 octobre à la Médiathèque Jean-Jacques Rousseau et mercredi 3 novembre à la bibliothèque Georges Brassens, c’était jeux sur tablettes à l’atelier multimédia. Les héros populaires étaient à l’honneur ! Voici les 5 applications sélectionnées par les bibliothécaires : 1. Poly Star : Prince story Plongez dans le monde du Petit Prince avec cette application douce et poétique. Dans un univers graphique superbe, ce puzzle game vous propose de jouer avec la perspective pour recomposer des objets et aider le Petit Prince à repeupler les planètes qu’il visite. Cette application a fait l’unanimité lors de notre atelier et ravira toute la famille ! Télécharger sur l’App Store Télécharger sur Google…
-
Le canard de la semaine – 5
Dans le cadre de l’expo POP’ Nous vous invitons à ouvrir chaque semaine une page de la presse de l’époque. Cette semaine, intéressez-vous à la mode à Longchamp…ou à Chicago Avec Le PETIT DAUPHINOIS – 02 novembre 1927 n° 17747- p1 D’autres “unes” sont dans l’onglet Archives du site.
-
Le livre dont vous êtes le héros
Découvrez “Vous à l’école des sorciers”, une plongée magique dans l’univers d’Harry Potter : resterez-vous du côté du bien ou céderez-vous à l’appel des forces du mal ? Pour le découvrir, faites vos propres choix, car le héros de cette histoire, c’est vous ! Ouvrez le livre pour vous lancer dans l’aventure Envie d’apprendre à réaliser ce type de livre numérique ? Rendez-vous, seuls ou en binômes, à l’atelier multimédia de la médiathèque Jean-Jacques Rousseau le jeudi 4 novembre 2021 à 14h (durée : 2h30). A partir de 12 ans. Sur inscription au 04 79 60 04 04 (atelier multimédia)”
-
Le canard de la semaine – 4
Dans le cadre de l’expo POP’ Nous vous invitons à ouvrir chaque semaine une page de la presse de l’époque. Cette semaine, jalousez les belles moustaches.. Avec les ALPES ILLUSTREES – 31 octobre 1895 n°41- p°7 D’autres “unes” sont dans l’onglet Archives du site.
-
J+4 : Retour sur le vernissage de l’exposition
© DR © Direction mutualisée de la communication de la Ville de Chambéry.
-
De la littérature chez les femmes
Au XIXe siècle, l’opinion publique et les cercles littéraires masculins, affirment encore que les femmes ne sont pas à leur place dans l’art de l’écrit. La femme a toujours tort de vouloir écrire : sa pudeur « naturelle » devrait l’en détourner. Du fait de sa condition physiologique, psychologique ou morale, elle est contrainte de se réaliser à travers les devoirs assignés à son sexe : bonne épouse, bonne mère… Une femme qui entend vivre de de sa plume provoque des réactions vives. Elle est considérée comme une concurrente déloyale face aux auteurs masculins, ou qualifiée de « bas-bleu » pour souligner son excès de prétention et d’arrogance. Peu à…
-
Femmes pionnières au XIXe siècle
Les femmes ont longtemps été considérées comme des individus mineurs, placées sous l’autorité de leur père ou de leur mari. Durant le XIXe siècle, un certain nombre d’entre elles sont considérées comme des pionnières car elles exercent pour la première fois un métier réservé aux hommes ou accèdent à une charge jamais occupée par une femme. Elles étaient aviatrice, journaliste, syndicaliste, réalisatrice … elles se sont souvent distinguées dans des combats pour les droits humains et ceux des femmes en particulier. Aujourd’hui oubliées ou encore célèbres, découvrez quelques-unes de ces femmes au destin hors du commun avec un petit jeu. Cliquez sur le bouton ! Jouer !
-
Zoom sur l’accrochage de l’expo Pop’!
-
Hygiène et santé : vive la publicité !
Les médicaments d’antan n’auraient plus la cote aujourd’hui… Et pourtant, la pâte et le sirop d’escargots guérissaient les rhumes. Le sirop d’Henry Mure était indiqué contre les maladies nerveuses. La graisse de chamois était vendue 2 francs le rouleau, chez son inventeur. Un produit local qui favorisait la repousse capillaire. Mais peut-être préférerez-vous le célèbre Sublimor qui venait à bout des tempes grisonnantes et de la chute des cheveux. Les globules taeniafuges à l’extrait vert, de rhizomes frais de fougère mâle, assuraient une guérison certaine du ver solitaire ! Contre les vices du sang et les humeurs… un peu de sirop de Bochet du Serpent de Lyon, en dépôt à…